A Secret Weapon For Islam
A Secret Weapon For Islam
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Il faut également mentionner l'apparition, à la fin du XIXe siècle, de la question d'un islam rékindé qui vise à un aggiornamento général. L'origine de celle-ci semble la rencontre avec l'Occident [Notice 38]. "Cette réflexion sur la modernité se fera sous le method non pas de la rupture mais du recours à la custom non pas du progrès mais de la renaissance.". Le premier courant réformiste fut celui de la salafiyya. Ce mouvement a privilégié l'islam "savant" et "urbain", au détriment des pratiques dites "populaires". Néanmoins, cette islamisation de la modernité s'est accompagnée, avec l'entrée de l'islam dans des espaces démocratiques, d'une modernisation de l'islam, by way of une individualisation de la religion.
»[eighty one]. La parfaite obéissance des anges est une lecture traditionnelle des récits autour de la Création[eighty two]. Certains érudits comme Tabari et Ashari ont takeé les anges déchus et ne croyaient pas à l'impeccabilité des anges. Ils soutiennent que seuls les messagers parmi les anges sont infaillibles[eighty three].
Il s'agit, pour chaque croyant, d'une « obligation individuelle », dont la prolifération incontrôlée marque le monde musulman depuis la dernière décennie du XXe siècle[270].
Il se retrouve dans le sultanat d'Oman et dans quelques régions très localisées du Maghreb, au nord du Sahara algérien ou en Tunisie (île de Djerba)[219].
Un différend politique entre sunnites et chiites conduit le califat à se diviser en deux visions très distinctes : l'une élective, l'autre héréditaire. Les premiers considèlease que le calife doit être élu pour ses qualités morales et islamiques, mais appartenir à la tribu de Quraych (tribu de Mahomet dont le monopole est récusé par get more info les kharidjites)[245]. Les seconds considèhire que seul un membre de la tribu de Quraych et de la famille de ‘Alî peut prétendre à ce titre[Be aware 41],[239]. Les sunnites ne reconnaissent que les califes Abou Bakr As-Siddiq, Omar ibn al-Khattâb, Othmân ibn Affân, Ali ibn Abi Talib, Al-Hassan ibn Ali[246] et Omar ibn Abd-al-Aziz[247] comme « bien guidés » ou « bien inspirés » par Dieu.
Islám učí, že Bůh je jediný a nesouměřitelný.[seven] Muslimové věří, že islám je úplnou a univerzální verzí prapůvodní víry, která byla mnohokrát zjevena prostřednictvím dřívějších proroků, jako byli mimo jiné Adam, Abrahám, Mojžíš a Ježíš;[eight][9] tato dřívější zjevení jsou připisována judaismu a křesťanství, které jsou v islámu považovány za duchovní předchůdce této víry.[10] Muslimové považují Korán za doslovné slovo Boží a nezměněné, konečné zjevení,[eleven] za hlavního a posledního islámského proroka považují Mohameda. Mohamedovo učení a normativní vzor (sunna), doložené v tradičních sebraných svědectvích (hadísy), představují pro muslimy druhotný ustavující product.[12] Islám učí o "posledním soudu", v němž budou spravedliví odměněni v ráji (džanna) a nespravedliví potrestáni v pekle (džahánnam), ať již pobytem dočasným či věčným.
Le Coran ne défend donc en rien le dogme de l'impeccabilité des Prophètes. La Sunna, elle-même, n'en contient que quelques traces[159]. Cette doctrine est énoncée, pour la première fois clairement, par Ibn Hanbal (855)[a hundred and sixty]. Ce dogme entraînera des conflits d’interprétation lorsque la vieille exégèse (y compris dans les écrits attribués à Mahomet) heurtait ce principe d’impeccabilité[161].Cette Idea aurait été importée dans l'islam par le biais de l'islam chiite, à partir de l'impact des croyances orientales et a connu dans la pensée sunnite des évolutions et une mise en area longue[162].
L'islam reconnait plusieurs textes comme étant des textes révélés. Les plus connus sont le Coran (qour’ân) révélé à Mahomet, la Torah (tawrât) révélée à Moïse, les Psaumes (zaboûr) révélés à David, les Évangiles (injîl) révélés à Jésus[one zero one],[102]. Il y a aussi des réfileérences aux feuillets d'Abraham et de Moïse dans le Coran[103].Le Coran porte néanmoins une accusation contre les juifs et les chrétiens d'avoir falsifié leurs Écritures.
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La fiscalité dans l'islam se dit solidaire par le zakât : les fidèles qui en ont les moyens doivent redistribuer une partie de leurs richesses aux plus démunis ou à l'intérêt de la cité[290].
.. Ces descriptions ont fait l’objet de débats exégétiques et théologiques[sixty six]. S’appuyant sur les hadiths d’une aspect et sur le tafsir de l’autre, la théologie (ou ‘ilm al-kalam), principalement d’origine mutazilite, s’est penchée sur la concern du divin, de son unicité et de sa justice. La question du rapport entre l’essence divine et ses attributs est particulièrement sensible, certains traditionalistes refusant toutes recherches rationnelles[sixty six].
Les soufis s'appuient sur des tendances coraniques de piété, "étrangères à la plupart des juristes"[221]
Un nouvel imaginaire se trouve ainsi renforcé, celui du retour à un moveé mythifié comme argument pour raffermir le phénomène communautaire et densifier les réfileérences globales de l'appartenance »[389].
Cette interprétation particulière de la foi fait que certaines de leurs compréhensions coraniques diffèrent considérablement des doctrines orthodoxes.
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